The climbing wall in Lavaur, France, is facing concerns due to its aging condition. One section of the wall, approximately 40 years old, has prompted inquiries about its safety.
Annual inspections are conducted by Altissimo, a reputable company, which issues usage permits and provides recommendations for maintenance. A counter-expertise commissioned by the climbing club highlighted potential risks, specifically the possibility of fingers getting stuck in wall crevices.
The city council has proposed repairing these specific issues, but the overall renovation cost is estimated at €50,000. The council is actively seeking funding sources.
A point of contention arises from the club's decision to remove holds from the older section of the wall to install them on the newer part. This action, undertaken without prior notice to the city, prevented students from using the wall, notably impacting high school students preparing for the climbing baccalaureate, forcing them to change their course option.
The city council maintains that the climbing wall does not pose an immediate danger, citing the continued use by approximately 950 students and 100 members. They affirm their commitment to finding funds for the renovations, while calling for collaboration and shared responsibility to address the issue.
Dans ce contexte de crispation croissante, l’adjointe au maire en charge des sports, Marie-Christine Imbert, apporte des précisions sur l’état du mur d’escalade et les démarches engagées.
« Le mur a une quarantaine d’années pour sa partie ancienne. C’est celle-ci qui interroge aujourd’hui », explique-t-elle. Chaque année, un contrôle est assuré par Altissimo. « Cette société, reconnue et rigoureuse, délivre des autorisations d’utilisation. Lorsqu’elle formule des recommandations, nous les appliquons », insiste l’élue.
La contre-expertise commandée par le club a mis en lumière certains défauts, en particulier des risques de coincement des doigts dans les parois. « Sur ces points précis, j’ai proposé de les reboucher », affirme Marie-Christine Imbert qui reconnaît le vieillissement de l’installation mais rappelle que « l’argent ne tombe pas du ciel ». Le coût de rénovation est estimé à près de 50 000 €, pour lequel la mairie est en recherche active de financements.
Le ton se fait plus ferme lorsqu’il s’agit de la décision du club d’avoir démonté les prises sur la partie ancienne pour les remonter sur la structure neuve. « Ils ne nous ont pas prévenus. Cela a privé les élèves du collège et du lycée de l’usage du mur », déplore-t-elle. Plus encore, cette décision a eu un impact direct sur les lycéens préparant l’option escalade au baccalauréat. « C’est une vraie déception. Ces jeunes ont dû changer d’option, après un an de préparation », regrette l’adjointe.
Si la mairie reconnaît la nécessité de travaux, elle rejette l’idée d’un danger imminent. « On ne fait pas grimper près de 950 scolaires et 100 licenciés sur une installation s’il y a un danger grave », conclut-elle. La ville promet de poursuivre ses efforts pour trouver des financements, tout en appelant au dialogue et à la responsabilité partagée dans la gestion de ce dossier sensible.
Skip the extension — just come straight here.
We’ve built a fast, permanent tool you can bookmark and use anytime.
Go To Paywall Unblock Tool